Outlast est sans conteste l’une des licences de survival horror les plus emblématiques du jeu vidéo. Développé et édité par Red Barrels, le premier jeu sortait en 2013 sur PC et PS4. Avant de suivre, un an plus tard sur One. Avec sa vue à la première personne et son absence d’arme, Outlast plaçait le joueur dans une véritable situation de vulnérabilité. Bloody Disgusting, média spécialisé dans l’horreur, révèle que le jeu aura le droit à un portage au cinéma ! 

Ainsi, Lionsgate, à qui l’on doit les SAW, et Red Barrels ont trouvé un accord pour adapter Outlast. Roy Lee (Ça, Late Night with the Devil, Strange Darling), sera en charge de ce cadeau. Peut-être empoisonné en fonction du résultat. Coté scénario, J.T Petty prendra ainsi le taureau par le cou ! Pour l’occasion, il reprend du service et déclare : « Red Barrels repousse les limites de l’horreur dans les jeux depuis plus d’une décennie, et étendre l’univers d’Outlast au cinéma est une opportunité incroyable de plonger plus profondément dans les personnages et les tueurs que nous aimons. »

Une collaboration rêvée !

Outlast a séduit plus de 37 millions de joueurs depuis sa création. La licence possède tous les ingrédients pour en faire un film d’horreur à succès. C’est ce que pense d’ailleurs Roy Lee. Il déclare : « Lorsque l’Outlast a été lancé en 2012, il a changé le paysage des jeux d’horreur, établissant une nouvelle norme de l’immersion dans le genre. Son histoire profonde et émergente a fourni une base parfaite pour créer un film qui plonge dans les horreurs psychologiques et physiques au cœur de la franchise. Je suis ravi de donner vie à ce monde unique à la fois pour les nouveaux téléspectateurs et aussi les fans dévoués de la série ».

David Châteauneuf, cofondateur de Red Barrels, explique :

En tant que fervents fans d’horreur dans tous les médias, chez Red Barrels, nous sommes de grands admirateurs du travail de Roy Lee et de Lionsgate. Les films d’horreur anciens et nouveaux ont eu un impact indéniable sur notre franchise au fil des ans, et maintenant avoir l’occasion de travailler sur un film d’Outlast avec de vraies légendes d’horreur est un rêve, ou devrais-je dire, cauchemar, en train de se réaliser.

Souhaitons que cette adaptation rende hommage à l’ambiance et à l’esprit de la licence Outlast !