
Showa American Story avait été annoncé en 2022 par le studio chinois Nekcom Games (DYING Reborn). 2P Games se chargera d’ailleurs de l’édition. Complètement loufoque, le jeu se présente comme un A-RPG postapocalyptique. Dans ce monde, le Japon a racheté le territoire américain et a fait déplacer sa population là-bas. Initialement prévu sur PC, PS4 et PS5, le jeu ne sortira finalement jamais sur la PS4. Si vous le désirez, il faudra donc soit changer de génération, soit investir dans un PC !
Les invasions zombies font partie des thématiques fortement abordées dans les jeux vidéo. Alors qu’est-ce qui change pour Showa American Story ? D’abord, cette idée géniale du rachat des États-Unis par le Japon et de la venue de toute sa population, le tout dans une ambiance années 80. 10 ans après la « catastrophe », le joueur incarne Choko, une jeune femme revenue à la vie. C’est par son prisme que l’on découvre un monde désormais en proie au chaos. Choko se lance alors dans un road trip pour retrouver sa sœur. Le jeu dispose d’un gameplay dynamique. Au corps-à-corps, le jeu semble fusionner des beat’em up à la Dynasty Warriors avec le gore d’un Dead Rising. L’arsenal offre d’ailleurs pas mal de possibilités ! Choko disposera d’un camping-car qu’elle pourra améliorer. Elle pourra aussi faire des activités quotidiennes et à l’instar de la série Yarkuza, des mini-jeux seront de la partie.
IGN a partagé tout récemment de nouvelles informations via un trailer exclusif de 5 minutes (tout de même). On découvre ainsi des villes phares américaines qui affichent la fusion entre la culture japonaise et américaine. Les joueurs découvriront ainsi : New Yokohama (Hollywood), Neo Tokyo-4 (Austin), Las Vegas ou encore San Francisco. Choko semble pouvoir exécuter des combos en plus d’utiliser des armes barrées (comme une sorte de foreuse). Le gore et l’absurde se côtoient pour donner une ambiance unique !
Showa American Story a une carte à jouer sur le marché des jeux zombies. Notamment parce que l’A-RPG offre un postulat aussi intéressant que décalé !